La récente décision de la Cour de Cassation clarifie que, en cas d'assistance juridique par deux avocats, la renonciation à la suspension des délais procéduraux peut être valable même si elle est effectuée par un seul d'entre eux. Une analyse approfondie du principe juridique impliqué.
La récente décision n° 16140 de 2022 clarifie les limites du pouvoir de désignation de l'avocat par les proches en cas de fuite, soulignant l'importance de la personnalité juridique de l'inculpé et des normes procédurales en vigueur.
Analyse de l'arrêt n° 15657 de 2023 déclarant la nullité d'ordre général pour non-communication au défenseur dans la procédure de recours par voie écrite pendant la pandémie.
La récente décision n° 17327 de 2023 clarifie les conditions du droit à l'assistance d'un interprète pour les accusés étrangers, soulignant l'importance de la déclaration de non-compréhension de la langue italienne.
L'arrêt n° 14854 de 2023 de la Cour de cassation aborde la question de la nullité pour le dépôt tardif des conclusions écrites dans le jugement par défaut d'appel, soulignant l'importance du respect des délais dans le processus pénal pendant la réglementation d'urgence.
L'arrêt n° 16017 de 2023 précise que l'âge avancé de la victime n'implique pas automatiquement une présomption de défense diminuée. Un cas de tentative d'escroquerie souligne l'importance d'évaluer la vulnérabilité individuelle.
La récente décision n° 14608 de 2023 clarifie les conditions de la qualification du port de spray irritant en lieu public, en analysant les différences entre les contraventions et les normes d'autodéfense.
L'arrêt de la Cour d'Appel de L'Aquila clarifie les modalités de renvoi de l'audience en cas d'empêchement de l'avocat dans le jugement d'appel. Une réflexion importante sur les procédures légales et les droits des accusés.
Analysons la récente décision n° 39476 de 2024 qui clarifie les conditions de nullité de l'accusation en cas d'omission d'inscrire le nom de l'accusé. Une décision importante pour la jurisprudence italienne.
L'arrêt n° 36775 de 2024 précise que le secret professionnel ne peut être invoqué que par des témoins, et non par des enquêteurs ou des prévenus. Analysons les implications de cette décision pour le droit à la défense et la recherche de la preuve dans le système juridique italien.