Analyse de l'arrêt n° 10298 de 2024, qui clarifie les dynamiques de responsabilité entre le contribuable et le professionnel en cas de sanctions fiscales, soulignant l'irresponsabilité du contribuable si le non-paiement est attribuable à des comportements frauduleux d'un tiers.
Une analyse approfondie de l'arrêt n° 9431 de 2024, qui clarifie le délai de prescription pour les sanctions administratives pécuniaires et son impact sur les contribuables.
L'arrêt de la Cour de Cassation clarifie les limites et les possibilités de l'exercice du pouvoir disciplinaire dans la fonction publique, en distinguant entre sanctions conservatoires et expulsives. Découvrons les détails et les implications juridiques.
La récente ordonnance de la Cour de Cassation clarifie la rétroactivité des normes plus favorables dans le cadre de la réglementation anti-blanchiment, confirmant une approche plus garantiste pour les personnes concernées.
Un approfondissement sur les vices de la procédure administrative en matière d'intermédiation financière, à la lumière de la récente ordonnance de la Cour de cassation.
Analysons l'importante ordonnance n° 10341 de 2024 qui clarifie les conséquences disciplinaires pour les conseillers financiers habilités à l'offre hors des locaux qui violent la réglementation de la Consob, en mettant en évidence les principes juridiques et les sanctions applicables.
L'ordonnance n° 10348 de 2024 de la Cour de Cassation clarifie l'application du délai de prescription de cinq ans pour les sanctions administratives en matière de intermédiaire financier, établissant une distinction importante entre les réglementations.
Analysons l'ordonnance récente n° 10212 de 2024, qui clarifie les modalités de motivation des sanctions administratives par la Consob, mettant en évidence l'importance de la transparence et du droit d'accès aux documents publics.
La récente décision de la Cour de cassation apporte d'importants éclaircissements sur la compétence pour décider de la révocation des sanctions substitutives, en particulier en ce qui concerne le travail d'intérêt général et les demandes de restitution dans le délai.
La récente décision de la Cour de cassation clarifie les limites de la compétence du juge dans l'application des sanctions administratives accessoires en cas de classement pour particulière légèreté des faits. Approfondissons ensemble la question.