Découvrez des analyses et commentaires sur l'inutilisabilité des preuves illicites en droit pénal français sur cette page du blog du Studio Legale Bianucci.
La récente décision n° 1269 de 2024 clarifie les conditions d'utilisabilité des messages WhatsApp obtenus par la police, soulignant l'importance du respect des droits de la défense de l'inculpé.
Explorons l'arrêt récent n° 45002 de 2024, qui clarifie l'inutilisabilité des déclarations faites en médiation civile dans le cadre du procès pénal, mettant en lumière les principes juridiques impliqués et les implications pratiques.
La récente décision n° 28060 de 2024 de la Cour de Cassation clarifie les limites de l'inutilisabilité des déclarations faites sans assistance légale, posant une importante réflexion sur la protection des droits de l'inculpé.
La récente décision de la Cour de Cassation clarifie la question de l'inutilisabilité des interceptions téléphoniques et le principe de l'invalidité dérivée, offrant une interprétation significative pour les procédures pénales.
L'arrêt n° 25592 de 2023 de la Cour de Cassation clarifie l'inutilisabilité des preuves obtenues par des interceptions en l'absence d'un titre valide pour les périphériques. Découvrons ensemble les implications juridiques de cette décision.
Analysons le récent arrêt n° 49959 de 2023, qui clarifie l'irrecevabilité des preuves par interception en cas de manque de motivation. Un important référentiel pour les avocats et les juristes.
L'illustration de l'arrêt n° 17225 de 2023 met en lumière l'importance de la rigueur formelle dans les enquêtes de défense et les conséquences juridiques de l'absence de rédaction du rapport d'authentification.
L'arrêt de la Cour de Cassation de 2024 clarifie les limites concernant l'acquisition des messages WhatsApp par la police judiciaire, mettant en évidence la nécessité d'un mandat de saisie pour garantir leur validité en tant que preuve.
L'arrêt n° 39596 de 2024 de la Cour de Cassation aborde le délicat sujet de la répétition du procès et de l'inutilisabilité des déclarations témoins en l'absence de consentement des parties. Une analyse approfondie pour comprendre les implications juridiques.
La récente décision n° 36918 de 2024 clarifie les modalités d'exception à l'inutilisabilité des déclarations faites par des personnes inscrites tardivement au registre des nouvelles de l'infraction, soulignant l'importance de la demande de rétrodatation selon l'art. 335-quater du code de procédure pénale.