Retrouvez ici une sélection d'articles de juriprudence portant sur la mafia et le crime organisé dans le domaine du droit pénal. Découvrez des analyses approfondies et des décisions judiciaires pertinentes.
Analysons l'arrêt de la Cour suprême de cassation n° 29556 de 2024, qui aborde la question des mesures conservatoires en cas de concours de personnes dans des délits liés à des associations mafieuses et l'importance de la prise de conscience dans la détention d'armes.
Explorons la récente décision de la Cour de Cassation concernant la complicité extérieure dans une association mafieuse, en soulignant les motivations et les implications juridiques de l'affaire C.A.
La récente décision du Conseil d'État n° 8675 de 2024 offre des éléments significatifs sur l'évaluation des infiltrations mafieuses dans les entreprises, clarifiant les critères d'actualité et de pertinence des éléments indices.
Une analyse de l'arrêt de la Cour de cassation qui a confirmé la responsabilité d'entrepreneurs complices de la mafia, mettant en évidence les dynamiques d'extorsion et le rôle des déclarations des collaborateurs de justice.
La décision de la Cour de cassation met en évidence la complexité du concours externe à une association mafieuse, clarifiant les limites du principe ne bis in idem et la pertinence de la motivation dans le procès pénal.
L'arrêt n° 24950 de 2023 de la Cour de cassation offre des pistes importantes sur les motifs abjects en droit pénal, en examinant les dynamiques de vengeance et d'affirmation du pouvoir au sein des associations criminelles.
La récente décision de la Cour de Cassation sur la participation extérieure d'un avocat à une activité mafieuse soulève des interrogations sur le rôle des professionnels dans la lutte contre la criminalité organisée.
La récente décision de la Cour de Cassation offre d'importants éclaircissements sur la configuration du délit d'échange électoral politico-mafieux, en examinant la notion d'objet matériel de l'échange et les implications pour le droit pénal italien.
L'arrêt n° 16434 du 21/02/2024 aborde les problématiques liées à la détention provisoire en cas de participation à des associations mafieuses historiques. Il analyse les présomptions d'existence des nécessités de sûreté et le sens du soi-disant 'temps silencieux'.
Analyse de l'arrêt récent n° 39680 de 2024, qui clarifie les modalités de vérification du crédit des tiers en relation avec les saisies conservatoires, à la lumière des modifications législatives et du principe de bonne foi.