La Cour suprême, par l'arrêt n° 19696 de 2025, clarifie qu'une condamnation définitive en Italie pour un crime différent ne bloque pas automatiquement la remise dans le cadre du Mandat d'Arrêt Européen. Découvrez comment la Cour d'Appel évalue discrétionnairement ces circonstances, évitant les automatismes et garantissant une analyse au cas par cas pour équilibrer les exigences de justice et les droits de l'accusé.
Un arrêt important de la Cour de Cassation Pénale (n. 19487/2025) clarifie les exigences fondamentales pour un consentement valide à la remise dans le cadre du Mandat d'Arrêt Européen. Découvrez pourquoi une information complète et transparente est cruciale pour la protection des droits fondamentaux et comment les lacunes peuvent invalider l'ensemble de la procédure d'extradition européenne, avec de graves conséquences pour la procédure.
Une analyse approfondie de l'arrêt 18637/2025 de la Cour de cassation sur la rétention administrative des étrangers. Découvrez comment l'autorité judiciaire garantit le respect des droits fondamentaux, l'importance du contrôle de légalité et la répartition des charges de la preuve entre l'administration et le citoyen étranger dans le nouveau cadre normatif.
Une importante décision de la Cour de cassation clarifie les limites temporaires de la détention administrative dite « secondaire » pour les ressortissants étrangers qui déposent une demande de protection internationale alors qu'ils se trouvent déjà dans un Centre de Permanence pour les Rapatriés (CPR). Découvrez les implications de l'arrêt n° 17508 de 2025 et comment il affecte les droits des demandeurs d'asile en Italie.
Une analyse approfondie de l'arrêt n° 16529/2025 de la Cour de cassation qui redéfinit les termes de la demande de protection internationale pendant la détention administrative. Découvrez les implications pour les demandeurs d'asile et les autorités, entre droits fondamentaux et procédures d'expulsion.
La Cour de cassation, par l’arrêt n° 16440/2025, clarifie les garanties de défense de l’étranger retenu au sens de la loi 187/2024 : la seule présence d’un interprète à l’audience de validation peut suffire, pourvu qu’elle assure la pleine compréhension des motifs de la mesure et de l’issue du jugement.
La Cour suprême précise que l'omission de traduction de la décision de validation ou de prorogation de la rétention conformément à la loi 187/2024 n'entraîne pas en soi une nullité, sauf préjudice concret pour la défense. Analysons les implications pratiques pour les avocats et les citoyens étrangers, entre Constitution, CEDH et aide juridictionnelle.
La Cour de cassation, par l'arrêt n° 19342 de 2025, réaffirme la caractérisation du délit d'apologie du fascisme pour quiconque participe à des manifestations avec des symboles et des gestes évocateurs, tels que le « salut romain » et le « appel du présent », à la protection des valeurs constitutionnelles de dignité et d'égalité. Une analyse approfondie de la décision qui protège la démocratie.
Analyse de la décision de la Cour de cassation (Arrêt n° 20143/2025) qui définit les limites de l'appel des jugements de relaxe par le Procureur de la République pour des infractions citées directement, en l'étendant également aux procédures abrégées, en vertu des modifications apportées à l'art. 593 du code de procédure pénale introduites par la loi n° 114/2024. Une clarification essentielle pour le procès pénal.
La Cour suprême, par l'arrêt n° 15754 de 2025, précise qu'en phase de validation ou de prolongation du maintien dans les CPR, le juge doit vérifier d'office tous les actes préalables, du décret d'expulsion à ceux de police, sous peine d'illégitimité de la restriction de la liberté personnelle de l'étranger.