Un arrêt important de la Cour de Cassation Pénale (n. 19487/2025) clarifie les exigences fondamentales pour un consentement valide à la remise dans le cadre du Mandat d'Arrêt Européen. Découvrez pourquoi une information complète et transparente est cruciale pour la protection des droits fondamentaux et comment les lacunes peuvent invalider l'ensemble de la procédure d'extradition européenne, avec de graves conséquences pour la procédure.
La Cour de Cassation, par l'arrêt n° 19481 de 2025, a apporté d'importants éclaircissements sur le principe du "ne bis in idem" international en matière d'extradition, établissant qu'une condamnation définitive dans un État non-UE n'empêche pas la remise. Découvrez les implications de cette décision pour la justice transnationale et les droits de l'accusé.
La Cour de cassation, par l'arrêt n° 20133/2025, réaffirme la compétence exclusive du Ministre de la Justice dans l'évaluation du refus d'extradition des citoyens italiens. Une analyse approfondie de cette décision qui délimite les frontières entre le pouvoir exécutif et le pouvoir judiciaire dans un contexte international délicat et de grande importance, expliquant les implications pour la protection des droits et la coopération entre États.
L'arrêt n. 12006/2025 de la Cour de cassation clarifie quand un jugement définitif rendu dans un État hors UE n'empêche pas la remise en exécution d'un mandat d'arrêt européen, redéfinissant le périmètre d'application du principe du bis in idem à la lumière de l'art. 10 Cost., de la Charte des droits UE et de la CEDH.
Analyse de l'arrêt 15113/2025 qui réaffirme que, dans l'extradition vers l'Argentine, les biens saisis ne peuvent être remis que s'ils sont directement liés à l'infraction contestée. Focus sur l'art. 20 de la Convention Italie-Argentine, l'art. 714 du code de procédure pénale italien et les retombées pratiques pour la défense et les autorités.
La Cour suprême clarifie que les informations transmises en vertu de la Convention de l'OCDE sur l'assistance administrative en matière fiscale peuvent être acquises dans le dossier de jugement conformément aux articles 234 et 234-bis du code de procédure pénale, sans commission rogatoire ni autorisation de l'État étranger, pourvu que le contradictoire soit respecté. Analysons la ratio, les limites et les retombées pratiques.
La Cour de cassation, par l'arrêt n. 16342 de 2025, précise que l'absence d'une motivation précise sur le risque de fuite entraîne l'annulation sans renvoi de l'ordonnance validant l'arrestation en vue de l'extradition et impose la libération immédiate de la personne concernée, sous réserve de la possibilité d'un nouveau mandat de dépôt conforme à la loi.
L'article analyse l'arrêt de la Cour de cassation n° 8931/2025 qui réaffirme le principe de spécialité dans le traité d'extradition Italie-États-Unis, clarifiant les limites de la juridiction américaine et les retombées pratiques pour la défense et la magistrature italiennes.
La Cour de cassation, par l'arrêt n° 8929/2025, aborde la question du retard dans la transmission de la demande d'extradition par le Pérou et clarifie comment, en l'absence de dispositions spécifiques dans le Traité bilatéral, la nullité de la procédure n'est pas déterminée, sous réserve de la limite de 90 jours à la détention provisoire.
La Cour suprême revient sur la question de l'arrestation provisoire en vue de l'extradition : l'arrêt 11499/2025 précise qu'en présence d'une red notice Interpol, le juge doit se limiter à vérifier les conditions de légitimité selon les articles 715 et 716 du code de procédure pénale, reportant toute autre vérification à des phases ultérieures.