Découvrez les articles et les analyses de jurisprudence du Studio Legale Bianucci sur le thème de l'escroquerie. Consultez les décisions de justice et les approfondissements juridiques sur ce sujet complexe.
Analyse de l'arrêt n° 3096 de 2024 qui clarifie les conditions de l'aggravante de la défense réduite dans la fraude en ligne, mettant en évidence la vulnérabilité des acheteurs dans la vérification des produits et des vendeurs.
Analysons l'arrêt Cass. pén. n. 35353/2010, qui offre des éléments importants sur la procédabilité des délits d'escroquerie et de faux, mettant en évidence la nécessité d'une contestation correcte de la part du procureur et le rôle du retrait de plainte.
Analyse de l'arrêt n° 40790 de la Cour de cassation concernant le délit d'escroquerie en matière financière, les responsabilités de A.A. et B.B., et les implications légales pour les investisseurs impliqués.
Analyse de l'arrêt n° 24487 de 2023, qui clarifie comment le silence sur des événements survenus peut constituer une conduite frauduleuse en matière d'escroquerie, en particulier en ce qui concerne les obligations pécuniaires.
L'arrêt n° 13573 de 2024 aborde le thème de l'escroquerie aggravée en vue d'obtenir des subventions publiques, clarifiant la configurabilité du délit dans le cadre du 'bonus culture' et la distinction avec les perceptions indues de subventions publiques.
Analysons l'arrêt n° 37474 de 2024 qui clarifie comment un acte de disposition patrimoniale ne doit pas nécessairement avoir une nature juridique pour constituer le délit d'escroquerie. Découvrons les implications légales et pratiques de cette décision.
La récente décision n° 40015 de 2024 offre d'importantes pistes de réflexion sur la configurabilité de la fraude aggravée dans le contexte des bonus de construction, clarifiant les frontières entre la fraude et la perception indue de subventions publiques.
Une analyse approfondie de l'arrêt de la Cour de Cassation concernant la fraude aggravée, les mécanismes de comptabilité et la responsabilité des sociétés impliquées.
Analyse de l'arrêt de la Cour de Cassation qui annule l'ordonnance de détention à domicile pour des contributions publiques indûment perçues pendant l'urgence Covid-19, clarifiant la distinction entre fraude et perception indue de prestations.