L'arrêt de la Cour de cassation du 3 octobre 2023 apporte d'importants éclaircissements sur le point de départ de la prescription pour les dommages résultant d'une hémotransfusion, soulignant la nécessité d'une identification correcte du dies a quo et l'importance de la connaissance du dommage.
La récente décision de la Cour de cassation clarifie les dynamiques de la prescription en cas de responsabilité du Ministère de la Santé pour les dommages causés par des transfusions sanguines. Découvrons les détails et les implications juridiques pour les victimes.