Une analyse approfondie de la récente décision de la Cour de cassation pénale (n° 19433/2025) qui définit les principes de déduction de la période de suspension du permis de conduire déjà subie administrativement, lorsqu'une sanction judiciaire plus sévère intervient. Découvrez comment le droit protège le citoyen contre la duplication des peines accessoires et garantit la proportionnalité dans l'application des sanctions.
La Cour suprême revient sur la révocation de la suspension de la procédure avec mise à l'épreuve : une seule transgression grave peut suffire, à condition que le juge vérifie les conditions légales visées à l'art. 168-quater c.p. Approfondissons les exigences, la jurisprudence et les impacts pratiques pour les accusés et leurs avocats.
La Cour de cassation, par l'arrêt n° 15683 de 2025, réaffirme les limites à la possibilité d'obtenir une deuxième suspension de l'exécution de la peine après le rejet de la mesure alternative, en délimitant des frontières claires entre l'art. 656 c.p.p. et l'art. 1 loi 199/2010 : voici ce qui change pour les prévenus et les avocats.
L'arrêt 12237/2025 de la Cour de cassation clarifie les conséquences du maintien administratif des étrangers demandeurs de protection internationale. Approfondissez comment l'issue de la demande de suspension affecte la légitimité de la détention et les mesures ultérieures, dans une perspective d'équilibre entre sécurité et droits.
Dans cette analyse de l'arrêt n° 1880 de 2025, nous explorons les conditions de la suspension conservatoire des fonctionnaires, en soulignant les implications juridiques et les conséquences d'une mesure prise sans les prérequis nécessaires.
La récente décision du Tribunal de Catane clarifie l'incompatibilité entre la demande de travail d'intérêt général et la suspension conditionnelle de peine, avec d'importantes conséquences pour les prévenus.
Analysons la décision n° 1227 de 2024, qui clarifie le champ d'application de la suspension du procès et de la prescription en cas de fractionnement de la dette fiscale.
L'arrêt n° 1792 de 2024 aborde la question de la suspension de la procédure avec mise à l'épreuve en relation avec le changement de juge, clarifiant les conditions d'admissibilité de la demande par l'accusé.
Par l'arrêt n° 16052/2025, la Cour de cassation réaffirme que seul l'accusé – et non le défenseur dépourvu de procuration spéciale – peut renoncer à la suspension conditionnelle déjà accordée. Un commentaire pratique sur les incidences du mandat de défense et des stratégies procédurales.
Analyse de l'arrêt n° 45583 de 2024 concernant les peines de substitution et la suspension conditionnelle de peine, mettant en évidence les nouveautés législatives et leur impact sur les droits des prévenus.