La Cour de Cassation, par l'arrêt n° 18413/2025, délimite clairement les frontières du transfert frauduleux de valeurs, établissant quand la réitération de détentions fictives de biens et de sociétés donne lieu à plusieurs crimes autonomes, avec des conséquences significatives en termes de prescription et de responsabilité pénale. Une analyse cruciale pour comprendre la lutte contre la criminalité économique.
Avec l'arrêt n° 14175/2025, la Cour de cassation précise que, dans le délit de blanchiment réalisé par des transferts de fonds de l'étranger, un seul retrait ou crédit en Italie suffit à établir la compétence des juges nationaux, en définissant précisément le concept de « fragment de conduite ».
L'arrêt n° 3044 de 2024 de la Cour d'appel de Bari clarifie la configurabilité de la tentative de blanchiment d'argent, en mettant l'accent sur la distinction entre les crimes à consommation anticipée et les crimes à consommation différée.
L'arrêt de la Cour de cassation n° 12732/2025 approfondit la portée de l'art. 512-bis c.p., précisant que celui qui prête son nom pour dissimuler des biens illicites répond en concours avec l'auteur principal. Une analyse des motifs de la décision et des implications pratiques pour les professionnels et les entreprises.
La Cour de cassation, par l'arrêt n° 11483 de 2025, trace une ligne claire pour la requalification du délit préalable en infraction de blanchiment, en soulignant l'indispensabilité du plein contradictoire. Une analyse cruciale pour comprendre les garanties de défense dans le procès pénal et les implications pratiques d'une modification de l'accusation.
Analyse de l'arrêt de la Cour d'Appel de Milan qui précise les modalités de configuration du délit de blanchiment d'argent, soulignant l'importance de la traçabilité et de l'origine des fonds.
Explorons les thèmes du blanchiment et des mesures conservatoires personnelles à la lumière de l'arrêt de la Cour de cassation, en mettant en évidence les principes juridiques impliqués et les implications pour le droit pénal.
La récente décision de la Cour de cassation apporte d'importants éclaircissements sur la confiscation des biens dans le délit de blanchiment d'argent, soulignant la distinction entre produit, profit et prix du délit.
L'arrêt n° 18184 de 2024 de la Cour de Cassation apporte d'importantes clarifications sur la bonne application de la confiscation en relation avec les délits d'appropriation indue et de blanchiment d'argent, en analysant le concept de profit et de produit des délits.
L'arrêt de la Cour de cassation de 2023 aborde le délicat sujet de l'identification du produit d'infraction dans le cadre du blanchiment d'argent et de l'appropriation indue, clarifiant les principes juridiques applicables et les conséquences pour les institutions bancaires.