La Cour de cassation, par l'arrêt 17826/2025, définit les limites du pouvoir discrétionnaire du juge d'instruction dans le rejet de la procédure probatoire pour les témoins silencieux dans les enquêtes de défense, excluant l'anormalité de la décision. Une analyse cruciale pour comprendre l'équilibre entre le droit au silence et la recherche de la vérité procédurale.
La récente décision n° 1759 de 2024 aborde la question de l'anormalité dans le rejet des demandes d'émission d'un décret pénal, clarifiant le pouvoir du procureur pendant les enquêtes préliminaires.
La Cour suprême, par l'arrêt n° 17789/2025, clarifie les limites du Juge de l'audience préliminaire dans la déclaration de nullités dérivées, définissant l'anormalité structurelle d'une ordonnance qui viole la durée raisonnable du procès et la séquence procédurale ordonnée. Une analyse fondamentale pour les garanties de défense et l'efficacité de la justice pénale.
Analyse de l'arrêt n° 44096 de 2024 sur la demande de renvoi en jugement en relation avec l'art. 73, alinéa 5, du d.P.R. n. 309/1990, à la lumière des récentes modifications législatives.
La Cour suprême revient sur le rapport entre l'action civile et le procès pénal. L'arrêt n° 10079/2025 exclut l'anormalité de l'ordonnance qui rejette la constitution de partie civile lorsque la victime a déjà agi en justice civile, fournissant des indications précieuses pour la stratégie de défense et de réparation.