Une analyse approfondie de la décision de la Cour de Cassation n° 19469 de 2025 qui clarifie l'interaction complexe entre les mesures de prévention patrimoniale, l'action révocatoire ordinaire et le rôle de la curatelle de faillite. Découvrez comment la Cour Suprême a défini la compétence exclusive du juge de la prévention dans la protection des droits sur les biens saisis, traçant une ligne claire entre les procédures.
La Cour suprême réaffirme que, dans le cadre de la procédure de vérification des créances visée par les articles 52 et suivants du décret législatif 159/2011, l'avocat demandant l'admission au passif doit documenter précisément l'activité exercée : la facture seule ne suffit pas, une note d'honoraires détaillée et visée par l'ordre est nécessaire, afin de prévenir les créances "de complaisance" et de protéger l'intérêt public.