La Cour de cassation, par l'arrêt n° 18740/2025, clarifie un aspect crucial de la maltraitance familiale : le délit peut persister même après la fin de la relation sentimentale entre conjoints, à condition que la cohabitation et la vulnérabilité de la victime persistent. Une analyse essentielle pour comprendre la protection juridique des personnes vivant en tant que « séparés à la maison ».