La Cour suprême, par l'arrêt n° 13149/2025, réaffirme que le temps écoulé entre la conduite et la réalisation du test d'alcoolémie n'invalide pas la preuve : un éclairage sur les effets pratiques pour les automobilistes, les forces de l'ordre et les avocats de la défense, à la lumière de l'art. 186 du Code de la route et de la jurisprudence conforme.