Le récent arrêt 20174/2025 de la Cour de cassation clarifie la nature du délit d'entrave aux fonctions de surveillance prévu par l'art. 2638 c.c. Une analyse approfondie des comportements omissifs ou frauduleux qui dissimulent la réalité économique des sociétés, révélant quand le délit est consommé et ses implications juridiques pour les entreprises.
La Cour de cassation, par l'arrêt n° 17715 de 2025, clarifie quand le vol est considéré comme consommé, même si l'auteur est constamment surveillé par les forces de l'ordre. Une analyse approfondie des conditions de possession autonome de la chose volée et de l'irrélevance de l'observation à distance pour la constitution du délit.
Une importante décision de la Cour de Cassation, arrêt n. 17683 de 2025, clarifie les limites du pouvoir du tribunal en matière de mesures de prévention : après la détention, la constatation de la dangerosité sociale est limitée à l'exécution ou à la révocation de la surveillance spéciale, excluant les modifications de la catégorie de dangerosité originelle. Une lecture essentielle pour la protection des droits et la correcte application du Code Antimafia.
La Cour suprême, par l'arrêt 14938/2025, précise quand le magistrat de surveillance peut révoquer la confiance en probation accordée à titre provisoire en vertu de l'art. 94 DPR 309/1990, excluant l'obligation de respecter le délai de 30 jours visé à l'art. 51-ter ord. pén. Approfondissons l'impact et les conséquences pratiques.
La Cour de cassation précise que l'identification erronée du juge compétent pour le recours contre les mesures de rétention du courrier des détenus en régime 41-bis est d'office relevable en légitimité : quelles conséquences pratiques pour la défense, le détenu et l'administration pénitentiaire
La Cour de cassation, par l'arrêt n° 14103/2025, clarifie comment le juge de surveillance doit évaluer non seulement la gravité du crime, mais aussi le comportement ultérieur du détenu pour autoriser le travail extérieur, en équilibrant les finalités éducatives et les besoins de prévention de la récidive.
La récente décision n° 46795 de 2024 clarifie que les procès-verbaux des enquêtes de défense ne sont pas soumis au délai de cinq jours prévu pour le dépôt des mémoires, soulignant une distinction importante dans la procédure de surveillance.
Une décision importante de la Cour de Cassation, Arrêt n° 10302/2025, confirme la compatibilité entre la sanction substitutive du travail d'intérêt général et l'octroi de la libération anticipée, attribuant la compétence au magistrat de surveillance. Découvrez les implications de cette décision pour le parcours éducatif des condamnés.
La Cour de cassation, par l'arrêt n° 14346/2025, a annulé sans renvoi une condamnation pour violation de la surveillance spéciale : absence de réévaluation de l'actualité de la dangerosité après la détention, même inférieure à deux ans. Analyse des retombées défensives et opérationnelles.
Analysons le récent arrêt n° 29379 de 2024 qui traite de la question de la dangerosité sociale et des mesures de prévention, en mettant en lumière les choix législatifs à la base de la décision de la Cour.