La Cour suprême, avec l’arrêt n° 19339 de 2025, clarifie les limites et les conditions pour le recours contre les ordonnances de rejet liées à l’accès aux programmes de justice réparatrice, dessinant un parcours crucial pour les prévenus et les avocats dans le cadre de la Réforme Cartabia. Découvrez quand il est possible de recourir et quels délits sont concernés.
La Cour suprême, dans l'arrêt n. 20171/2025, délimite les frontières entre l'issue positive de la mise à l'épreuve et les demandes de réparation de la partie civile. Une analyse approfondie pour comprendre quand l'extinction de l'infraction préclut la condamnation au paiement des dommages et intérêts et des frais de procédure dans la procédure pénale, offrant des éclaircissements sur un enjeu crucial.
La Cour de cassation, avec l'arrêt 20308/2025, précise que l'omission de l'avis relatif à la faculté d'accéder à la justice réparatrice dans l'acte de citation en appel n'implique pas la nullité de l'acte. Une analyse des implications de cette décision, qui qualifie l'absence comme un simple manquement d'information sans impact sur la 'vocatio in ius'.
Analysons l'arrêt n° 131 de 2024, qui clarifie l'admissibilité de la demande d'accès aux programmes de justice réparatrice et les limites du vice de motivation dans le recours en cassation.
La Cour de cassation, par l'arrêt n° 15159 de 2025, établit que toute modification du programme de traitement dans la suspension de la procédure avec mise à l'épreuve nécessite le consentement, même tacite, de l'accusé ; en son absence, l'ordonnance est nulle pour violation du droit à la défense, avec une possible extinction du délit.